Léon XIII
Dans le dernier quart du XIXe siècle, l'Eglise doit faire face à deux difficultés majeures : des Etats qui en Europe adoptent les principes laïques de 1789 et tendent à s'affranchir de toute tutelle de Rome ; des catholiques - et même des clercs - qui regardent d'un oeil complaisant cette tendance et veulent marier le libéralisme et le christianisme. Dans cette lettre magistrale adressée d'abord aux évêques, mais aussi à tous les catholiques, Léon XIII rappelle de façon synthétique et claire ce que Jésus Christ a enseigné au sujet de la vie sur terre, de la société et des rapports entre société civile et religion. En un mot, le pape expose la doctrine traditionnelle de la constitution chrétienne des Etats. Si les peuples de la terre et leurs gouvernants s'inspiraient aujourd'hui de ces enseignements, nul doute que, très vite, l'atmosphère de la vie terrestre deviendrait beaucoup plus respirable. Le mal ne disparaîtrait pas, mais la vérité et la morale, donc la paix et le bonheur se diffuseraient mieux.
Avec notes explicatives de l'abbé Philippe Toulza.
88 pages - 14 x 21 cm (éditions Clovis)
Dans le dernier quart du XIXe siècle, l'Eglise doit faire face à deux difficultés majeures : des Etats qui en Europe adoptent les principes laïques de 1789 et tendent à s'affranchir de toute tutelle de Rome ; des catholiques - et même des clercs - qui regardent d'un oeil complaisant cette tendance et veulent marier le libéralisme et le christianisme. Dans cette lettre magistrale adressée d'abord aux évêques, mais aussi à tous les catholiques, Léon XIII rappelle de façon synthétique et claire ce que Jésus Christ a enseigné au sujet de la vie sur terre, de la société et des rapports entre société civile et religion. En un mot, le pape expose la doctrine traditionnelle de la constitution chrétienne des Etats. Si les peuples de la terre et leurs gouvernants s'inspiraient aujourd'hui de ces enseignements, nul doute que, très vite, l'atmosphère de la vie terrestre deviendrait beaucoup plus respirable. Le mal ne disparaîtrait pas, mais la vérité et la morale, donc la paix et le bonheur se diffuseraient mieux.
Avec notes explicatives de l'abbé Philippe Toulza.
88 pages - 14 x 21 cm (éditions Clovis)