Poser un regard scientifique sur le Grand remplacement par l’immigration
Le 7 mars 2019, le Conseil scientifique de Civitas a organisé son premier colloque sur le thème du génocide vendéen, au Parlement européen de Bruxelles. Il sera publié dans une prochaine revue.
Quelques semaines plus tard, à l’occasion de la troisième Fête du Pays réel, un second colloque était organisé sur un sujet de brûlante actualité : Le grand remplacement : mythe ou réalité ?L’objectif de ce colloque était d’apporter des éléments objectifs sur la question de l’existence du grand remplacement. Pour les prétendues élites politico-médiatiques, il s’agit là d’une théorie « complotiste » répandue par « l’extrême droite » et cela suffit pour se dispenser de l’étudier. C’est l’inverse de la démarche scientifique, laquelle consiste à vérifier si une hypothèse est en accord ou en contradiction avec les faits.
Quels sont les faits ? Y a-t-il une réalité démographique du grand remplacement qui affecte en profondeur la structure même de la population ? Ce changement de population provoque-t-il une transformation de notre civilisation, c’est-à-dire de l’esprit même de notre nation ? Y a-t-il une volonté des gouvernants de favoriser voire d’imposer ce changement ? Nos intervenants ne sont pas nécessairement d’accord sur tout. C’est le propre d’un colloque où l’on confronte les points de vue avec rigueur et honnêteté. Du moins n’ont-ils pas cherché à dissimuler quelque vérité que ce soit, pour complaire aux puissants du jour.
Alain Escada, président de CIVITAS…