Agnès Richomme - Illustrations : Bernard Baray
Image de couverture : Marc Mosnier
L'histoire de Kateri Tekakwitha (Celle-qui-avance-en-hésitant) est une merveilleuse aventure qui se passe au XVIIe siècle, il y a 300 ans, en Nouvelle-France, pays que nous appelons aujourd'hui Canada.
Kateri était une petite Iroquoise, c'est à dire une Amérindienne. Ses ancêtres - son père notamment - étaient de véritables païens, féroces, sauvages et cruels. Mais sa mère, Fleur-de-la-Prairie, était déjà secrètement chrétienne, convertie par des « robes noires », des missionnaires jésuites, qui avaient visité son village. Kateri apprit donc très tôt auprès de sa mère à aimer Jésus.
Mais les épreuves frappèrent cette petite fille. Ses parents moururent, son oncle encore païen refusa pendant longtemps qu'elle fût baptisée. Elle put finalement devenir enfant de Dieu par l'eau du baptême, mais elle dut s'enfuir de sa tribu. Réfugiée dans une mission jésuite, elle offrit alors toutes ses joies, son travail, ses souffrances et sa maladie (elle devient quasiment aveugle) pour la conversion de son peuple.
Elle chantait de très beaux cantiques et priait de longues heures devant une croix d'érable qu'elle avait plantée au bord du fleuve Saint-Laurent. Un prêtre qui l'a connue écrivit à son sujet : « Cette jeune fille, toute sauvage qu'elle était, se trouvait si pleine de Dieu, et elle goûtait tant de douceurs dans cette possession, que tout son extérieur s'en ressentait... Il ne fallait pas être longtemps avec elle pour en être ému et pour être réchauffé de ce feu divin. »
18 x 27 cm - 44 pages (éditions Clovis)
Image de couverture : Marc Mosnier
L'histoire de Kateri Tekakwitha (Celle-qui-avance-en-hésitant) est une merveilleuse aventure qui se passe au XVIIe siècle, il y a 300 ans, en Nouvelle-France, pays que nous appelons aujourd'hui Canada.
Kateri était une petite Iroquoise, c'est à dire une Amérindienne. Ses ancêtres - son père notamment - étaient de véritables païens, féroces, sauvages et cruels. Mais sa mère, Fleur-de-la-Prairie, était déjà secrètement chrétienne, convertie par des « robes noires », des missionnaires jésuites, qui avaient visité son village. Kateri apprit donc très tôt auprès de sa mère à aimer Jésus.
Mais les épreuves frappèrent cette petite fille. Ses parents moururent, son oncle encore païen refusa pendant longtemps qu'elle fût baptisée. Elle put finalement devenir enfant de Dieu par l'eau du baptême, mais elle dut s'enfuir de sa tribu. Réfugiée dans une mission jésuite, elle offrit alors toutes ses joies, son travail, ses souffrances et sa maladie (elle devient quasiment aveugle) pour la conversion de son peuple.
Elle chantait de très beaux cantiques et priait de longues heures devant une croix d'érable qu'elle avait plantée au bord du fleuve Saint-Laurent. Un prêtre qui l'a connue écrivit à son sujet : « Cette jeune fille, toute sauvage qu'elle était, se trouvait si pleine de Dieu, et elle goûtait tant de douceurs dans cette possession, que tout son extérieur s'en ressentait... Il ne fallait pas être longtemps avec elle pour en être ému et pour être réchauffé de ce feu divin. »
18 x 27 cm - 44 pages (éditions Clovis)