Décembre 2009
La liberté de conscience
Toutes les professions médicales sont prises dans un étau.
D’un côté ce que la société gouvernée par la pensée unique les oblige à faire, et de l’autre ce que leur dicte leur propre conscience de catholique.
Ceci concerne plus particulièrement la prescription de produits abortifs.
Les lois nous interpellent. Dans quelle mesure chacun d’entre nous peut-il collaborer au mal ? Et quelles sont les limites de cette collaboration ? Penser que celle-ci ne concerne que les professions médicales est une erreur grave.
Car, par exemple, avec nos impôts nous contribuons à payer les avortements. Face à cette réalité, les consciences se sont littéralement émoussées.
Il faut subir cette complicité monstrueuse à des lois parfois iniques. Jusqu’où peut-on aller ? C’est ce qu’a tenté de définir cette publication.
OCCASION TBE